7 février 2008
Lourdeurs
Soirs automnaux d’une journée ensoleillée, Douce brise volatile sur nos épaules, Caressant la beauté d’une main frêle et tordue, Le flamboiement terni du soleil s’éloigne, Nous laisse seuls à deux avec La Nuit, Paradoxalement abandonnés dans la lueur...